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greg
il aura pas fait long feu a Toulouse.....
Miss TFC
ce n'es pas des conneries qu'il raconte.
Mitch31
Citation :

FOOTBALL. YACINE ABDESSADKI QUITTE LE TFC ET RETOURNE À STRASBOURG.

Comment avez-vous vécu cet épisode toulousain ?

J'étais venu pour une belle aventure, jouer et franchir un autre palier. Je suis arrivé dans un club ambitieux, mais peut-être ne faisait-on pas tout pour y arriver. Au club, on aurait peut-être dû se poser les bonnes questions au lieu d'accabler les recrues, de leur laisser une chance de pouvoir travailler sur de bonnes bases. En changeant à chaque fois, personne ne trouvait ses marques. Je me sentais délaissé, pas soutenu comme une recrue aurait dû l'être. J'ai le sentiment d'avoir été mis au placard pour rien du tout. Heureusement, mon petit Gebril, né en novembre, m'a redonné du courage et il m'a aidé à surmonter l'épreuve.

Propos recueillis par Jean-Paul Pronzato LA DEPËCHE


ça taille grave !!! , mais je continue a croire qu'il se pose comme victime .
combien de fois a t'il changé de poste ?
certes a son poste la concurrence est rude et il a senti qu'il ne jourait que rarement , mais ce n'est pas la peine de balancer des conneries pour justifier son départ
christine
FOOTBALL. YACINE ABDESSADKI QUITTE LE TFC ET RETOURNE À STRASBOURG.

« Il fallait que je parte »


Après six mois à Toulouse où il n'a que très peu joué, Yacine Abdessadki retourne à Strasbourg, son club d'origine, où il a signé hier un contrat de deux ans et demi. Le président Sadran, qui demandait récemment 333 000 € pour son transfert, a finalement décidé de libérer le Franco-Marocain contre une indemnité de 80 000€ . Nous avons joint, en Alsace, le joueur qui doit s'entraîner dès aujourd'hui avec le Racing.

Yacine, c'est un retour à la case départ.

Je repars de zéro. Avec le moral. Si je reviens à Strasbourg, c'est que je l'ai voulu. Ici, je n'aurai pas de problème d'adaptation. C'est une bonne solution dans l'immédiat pour me relancer. Ici, je sais qu'on respecte mon travail et mes compétences. Si je suis bon, je jouerais. Le coach me connaît bien. Il respecte les gens qui travaillent. À Toulouse, je travaillais bien et je n'ai pas été récompensé.

Considérez-vous votre expérience toulousaine comme un échec ?

Un gros échec. Je ne comprends pas trop ce qui s'est passé. Je me pose toujours la question. Je ne comprends pas cette mise à l'écart. L'excuse de la concurrence est facile. Apparemment, le courant ne passait pas. On ne m'a jamais donné de véritable explication. Ça se passait pourtant bien à l'entraînement où j'essayais de garder ma bonne humeur malgré ma situation. J'ai toujours été quelqu'un de joyeux et de travailleur.

Comment avez-vous vécu cet épisode toulousain ?

J'étais venu pour une belle aventure, jouer et franchir un autre palier. Je suis arrivé dans un club ambitieux, mais peut-être ne faisait-on pas tout pour y arriver. Au club, on aurait peut-être dû se poser les bonnes questions au lieu d'accabler les recrues, de leur laisser une chance de pouvoir travailler sur de bonnes bases. En changeant à chaque fois, personne ne trouvait ses marques. Je me sentais délaissé, pas soutenu comme une recrue aurait dû l'être. J'ai le sentiment d'avoir été mis au placard pour rien du tout. Heureusement, mon petit Gebril, né en novembre, m'a redonné du courage et il m'a aidé à surmonter l'épreuve.

Au moment de partir, éprouvez-vous un regret ?

Aucun regret. Je pars dignement et je garde des contacts avec certains joueurs que j'apprécie. Il fallait que je parte. Ma situation devenait illogique. Il fallait rectifier le tir rapidement avant de m'enterrer dans un club où, malgré mes efforts, je sentais que je n'allais pas jouer. Aujourd'hui, je suis content de mon choix. C'est la meilleure chose qui puisse m'arriver.

Propos recueillis par Jean-Paul Pronzato LA DEPËCHE
Miss TFC
ben les bon souvenirs il va pas en avoir beaucoup.
je suis dgoutée maios en meme temps contente pour lui
allez bon courage yass
ogmios
L1 / STRASBOURG :
Le retour de l’enfant terrible
lundi 23 janvier 2006 - 17 h 06 - Nicolas BERTÉ

L’enfant terrible du RC Strasbourg est de retour. Six mois seulement après avoir quitté le club alsacien pour tenter sa chance à Toulouse, Yacine Abdessaki est revenu au bercail. Un « je t’aime, moi non plus » qui dure depuis plus de six ans. Retour sur une histoire d'amour mouvementée.

Six ans que ça dure ! Six ans que l’histoire d’amour impossible entre Strasbourg et Yacine Abdessaki perdure. A son arrivée en Alsace en provenance de Toulon en 1999, il lui avait d’ailleurs fallu peu de temps pour connaître sa première joie, suivie quelques minutes plus tard d’une cruelle désillusion. C’était le 10 janvier exactement. Pierre Mankowski, alors entraîneur strasbourgeois, décide de le lancer dans le grand bain en Coupe de la Ligue contre Troyes. Résultat : une défaite durant la prolongation et un adieu longue durée au groupe pro. Il a alors à peine dix huit ans et l’insouciance des jeunes de son âge. L’argent commence à remplir son compte en banque, il achète une belle voiture, frime en ville. « Se la joue » comme on dit. Sur le terrain, c’est une autre histoire. Et là, il ne joue pas beaucoup. Jusqu'en 2001, il n'apparaît que quatre fois en L1 et prend un abonnement longue durée en CFA. Son image de « sale gosse » lui colle à la peau. Le club prend alors la décision de le prêter à Grenoble en Ligue 2. Le Franco-Marocain se réveille et se révèle enfin. Il a la confiance d'Alain Michel, le coach isérois de l’époque, et démontre ses - déjà - immenses qualités.

A son retour au RCS en 2003, il trouve un nouvel entraîneur en la personne d’Antoine Kombouaré. Lui non plus n’a pas d’a priori sur l’homme et lui donne sa confiance. En septembre 2004, Yacine sera pourtant écarté de l’entraînement pour retard. L’ancien défenseur parisien ne badine pas avec la discipline. Leur relation n’en prendra pas ombrage. Les entraîneurs changent mais Abdessadki reste. Sous l’ère Duguépéroux, il prend même une nouvelle dimension et se met à marquer des buts. Tout s’enchaîne alors : les bons résultats du club strasbourgeois, la reconnaissance du milieu et sa première sélection sous le maillot de l’équipe national du Maroc face au Burkina-Faso, en novembre 2004. Mais encore une fois, le natif de Nice va se brûler les ailes, incapable de gérer sa gloire naissante. En fin de contrat au Racing, qui lui a proposé un nouveau bail de trois ans en consentant un bel effort financier (selon les DNA de l’époque, il aurait quadruplé son salaire qui s’élevait alors à 7 000 euros par mois), il décide de partir. D’aller tenter une autre aventure. Des clubs espagnols se sont renseignés (Majorque et Malaga) mais aussi des clubs français comme Rennes ou Toulouse. Tous lui font miroiter la poule aux oeufs d’or.

C’est finalement sur Toulouse que son choix se porte. Il y signe un contrat de trois ans. Pour ne finalement y rester que six mois. Barré par Moreira ou Batlles, il n’aura débuté que sept fois titulaire côté droit, dont six lors des neufs premières journées. Il participe donc au départ catastrophique du club toulousain dans cette Ligue 1 version 2005-2006. Il réapparaîtra seulement lors de la 19eme journée, lors d’une défaite à Monaco (1-0). Puis plus rien. Une image de « loser » lui colle à la peau. Il n’a visiblement plus la confiance de Mombaerts. Une cruelle désillusion - une de plus - pour celui qui se voyait déjà en haut de l’affiche quelques mois plus tôt. Le retour sur terre est douloureux mais le choix est vite fait.

Il veut partir et retourner chez lui. A Strasbourg. Et contre toute attente, le club qui l’avait laissé partir devant son forcing effréné décide de nouveau de l’accueillir les bras ouverts. Le voilà donc de nouveau en Alsace, avec un nouveau contrat de deux ans et demi et une clause de départ en cas de relégation en Ligue 2. Un vrai retour à la case départ.
ogmios
Yacine ABDESSADKI est muté définitivement au Racing Club de Strasbourg...

Le milieu de terrain recruté fin juin 2005 au TFC, va finalement rejoindre son ancien Club, le Racing Club de Strasbourg. En manque de temps de jeu à Toulouse, Yacine espère ainsi retrouver le chemin des terrains avec Strasbourg.

La signature avec Strasbourg devrait se finaliser ce lundi, Yacine devrait signer un contrat de 2 ans et demi.
Seb
ça y est, il repart! bon retour à lui, j'espère qu'il gardera de bons souvenir d'ici
Miss TFC
mouais ben on va voir
Mitch31
L'attaquant international de Middlesbrough Szilard Nemeth et le Toulousain Yacine Abdessadki s'engageront dans les toutes prochaines heures avec le Racing.

L'international slovaque paraphera en principe ce matin son prêt – payant – de six mois à Strasbourg (pour une enveloppe globale de 500 000 euros pour le RCS). Il repartira aussitôt en Angleterre chercher ses effets personnels et sera présent mardi matin lors de la reprise de l'entraînement. Le public meinovien découvrira alors son visage et en retrouvera un autre, bien connu sur les bords du Krimmeri, celui de l'ancien Strasbourgeois Yacine Abdessadki. Depuis plusieurs semaines, les négociations étaient bloquées entre le milieu de terrain international marocain et son club, Toulouse, qui refusait de le libérer gratuitement après lui en avoir fait la promesse. L'affaire a fini par se dénouer hier. « Nous sommes enfin tombés d'accord », racontait en soirée le désormais ex-Toulousain qui arrivera à Strasbourg cet après-midi et signera lundi un bail de deux ans et demi, assorti d'une clause de départ en cas de relégation en L2: Alors que les tractations étaient au point mort, je m'étais fait à l'idée de rester à Toulouse, même si j'espérais encore que la tendance s'inverserait. J'ai accepté de faire des concessions pour résilier mon contrat (jusqu'en juin 2008). Prendre son salaire sans jouer n'a aucun intérêt. Je voulais retrouver le plaisir du jeu et mettre fin à l'injustice dont j'étais victime au Téfécé. Je suis ravi de revenir au Racing. Coût estimé de l'opération: 80 000 euros. Les deux néo-Racingmen devraient être qualifiés pour la réception du PSG samedi. (L’Alsace 21/01)

mais bon rien sur le site off ..........
 
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